Thérèse Bénédicte de la Croix (Edith Stein)
Témoignages
Une amie d'enfance :
"Sans être une élève ambitieuse, elle était très appliquée. Elle était d'une grande modestie, calme, ne manquant ni de gentillesse, ni de profondeur."
Une élève :
"Je la revois encore avec sa robe bleu clair, simple et droite. Son naturel modeste m'a tout de suite impressionnée. Elle était difficile à dépeindre, même si elle avait déjà un nom célèbre."
Une élève :
"Quand elle formulait une critique, elle alliait de manière parfaite la bonté et la justice. Jamais nous n'avons vu chez elle autre chose que le calme, la délicatesse et la paix."
Une amie d'enfance :
"Sans être une élève ambitieuse, elle était très appliquée. Elle était d'une grande modestie, calme, ne manquant ni de gentillesse, ni de profondeur."
Le frère portier de l'abbaye de Beuron :
"J'ai à chaque fois admiré son humilité quand elle se présentait à l'accueil. La pèlerine modeste avait des marques de révérence vis-à-vis de nous, membres de l'ordre, comme si nous étions des gens extraordinaires."
Le Père abbé de l'abbaye de Beuron :
"C'était la simplicité extraordinaire et le naturel en personne, une femme à part entière, douée de sensibilité, tendre, maternelle sans être pour autant possessive avec qui que ce fût. Emplie de grâce mystique au vrai sens du mot, elle n'a jamais pris d'air maniéré et supérieur."
Au carmel :
"Elle était toujours prête à aider tout le monde. Alors, comme soeur de notre communauté, on avait un soutien auprès d'elle"
Au carmel :
"Elle était toujours prête à aider tout le monde. Alors, comme soeur de notre communauté, on avait un soutien auprès d'elle"
Au carmel :
"Soeur Bénédicte ne se dérobait pas aux tâches ordinaires, malgré sa terrible maladresse."
Au carmel :
"Dans ses relations quotidiennes avec autrui, elle était calme, cordiale et s'intéressait à chacun."
Au carmel :
"On pouvait lire sur son visage la paix intérieure. Elle gardait toujours sa bonne humeur et savait relativiser les choses."
Au carmel :
"Juste avant son arrestation, je lui avais couru après pour lui demander pardon à cause d'une petite dispute que nous venions d'avoir, mais je n'avais eu que le temps de dire : 'Soeur Bénédicte !'. Elle s'était retournée et m'avait serrée dans ses bras."
Au camp de Westerbork :
"Edith Stein tranchait nettement sur l'ensemble par son comportement paisible et son attitude calme. Les cris, les plaintes, l'état de surexcitation angoissée des nouveaux venus étaient indescriptibles ! Elle allait parmi les femmes comme un ange de consolation, apaisant les unes, soignant les autres. Elle s'occupa des petits enfants délaissés par leurs mères tombées en une sorte de prostration : elle les lava, les peigna, leur procura la nourriture et les soins indispensables."